jeudi 16 juillet 2015

11 juillet 2015 (stage bad-surf) : No Surf today mais Good Wind !

    Samedi, NO SURF ! Mais, comme l'année dernière, au programme une rencontre matinale contre le Badminton Côte Basque d'Anglet (à côté de Bayonne). Trois heures de matchs intensifs contre des joueurs d'un gros niveau. Les plus valeureux d'entre-nous ont ainsi croisé le carbone avec du C et du B, et Erwan a repris du service pour assurer le spectacle. Nos minimes se sont frottés à Maayan Harispe, une jeune et sympathique vedette du club, virtuel C4 ! Il y avait aussi deux Pimprenelles NC, mais alors c'était qu'en bad qu'elle étaient non-classées, car, côté sourire, c'était facilement du top 50, voire du T20 ! 
    Après une pantagruélique grillade, conceptualisée par Denis (El Presidente),  avec notamment de la ventrèche et des tranches de Omo rousties à la perfection, le tout couronné par de délicieux cônes glacés, notre dévoué encadrement nous a concocté une petite balade digestive de 3 heures en VTT, manière de folâtrer dans Cap Breton, puis en longeant la côte, d'aller dire un petit au revoir (et à l'année prochaine !) à la Cabane Aloha. L'occase rêvée pour notre photographe et chroniqueur attitré de nous tirer le portrait méchamment coiffés !

    Par ailleurs, ce jour-là, la bombe alimentaire à retardement Netto a commencé à produire ses effets sur les intestins les plus enjoués. Aussi, certains, dont nous n'éventerons pas (pour l'instant) les noms de code, ont appréhendés (biologiquement s'entend, ou sentant) la communication façon harengs (pour ceux qui souhaiteraient s'instruire du mode privilégié de conversation, ou plutôt de concilia-bulles,  du Clupea harengus, circulant en bande, nous conseillons le visionnage d'une Chronique de Marc, consacrée à ce discours acoustique).
    A moins qu'à la harangue du hareng, ils n'aient vainement préféré tenter d'égaler l'impayable style de l'artiste fin-de-siècle, Joseph Pujol... (1)
    Aussi, dimanche, lors de notre rentrée sur Saint-Mat, afin d'éviter d'incommoder le reste de la troupe, clarinettistes et trombonistes de talent ont été calés (toutes fenêtres ouvertes), bien à l'arrière du minibus (rouge). Là, ils ont pu développer leurs gammes avec application, affinant, régulièrement et en sourdine, leur concerto. Le retour s'est ainsi passé sans trop d'encombre, puisque les vents (arrières) nous étaient particulièrement  "favorables" !

    (1) Pour quasiment tout connaître sur les performances de cet artiste qui fit la gloire du Moulin Rouge de 1892 à 1918, on se plongera dans le chapitre que lui consacre Jim Dawson, de la West Virginia University, dans son ouvrage de référence, Who Cut the Cheese ? A Cultural History of the Fart, Ten Speed Press, Canada, 1999 : "Le Pétomane : the fine art of farting", pp. 28-38).






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